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18 janvier 2016 1 18 /01 /janvier /2016 13:50

Vous êtes vous déjà demandé comment se passe le métier de journaliste ? Alors lisez la suite pour en savoir plus.

 

M. Bazin, rédacteur à la Voix du Nord est venu un midi au collège pour nous parler de son métier de journaliste.

Un journaliste s’invite au collège

Pour devenir journaliste, il faut d’abord passer par des études. Il existe 14 filières reconnues dont une à Lille. Bien évidemment, elles ne sont pas obligatoires. Par exemple, M. Bazin est devenu journaliste en faisant des études de langues étrangères. Quand il était plus jeune, il participait au club de photographie de son école.

Un jour, un rédacteur de la Voix du Nord l’a contacté pour de petits articles et quelques reportages. A l’époque il ne savait pas en quoi consistait réellement ce métier. Au bout d’un certain temps, il s’est rendu compte que ce métier lui plaisait et qu’il voulait continuer dans cette voie. Une des particularités du métier sont les horaires. Comme M. Bazin l’a dit , un journaliste sait comment va commencer sa journée mais pas quand et comment elle va se terminer. Le nombre d’articles écrit en une journée est très variable, cela dépend du journaliste et de l’actualité. Les journalistes choisissent eux-mêmes le thème de leurs articles mais ils doivent respecter les limites fixées par leur directeur.

 

Un journaliste s’invite au collège

Allons à la découverte des autres métiers de la Voix du Nord:

 

Bien évidemment, il n’y a pas que des journalistes à la Voix du Nord ou même dans les autres journaux. Par exemple, lors de mon stage à la Voix du Nord, j’ai interviewé une chef de secteur en publicité qui s’occupe de vendre les différents emplacements dédiés aux publicités dans le journal ou sur leur site internet. Il y a également des assistantes d’édition qui, quant à elles, font les pages locales du journal. Elles y mettent les sorties loisirs et culturelles du moment ou bien des annonces. Les rédacteurs mettent en forme les différents articles des journalistes grâce à un logiciel qui reproduit le journal papier sur l’ordinateur. Les journalistes peuvent prendre des photos pour leurs articles mais il existe des photo-reporters qui les accompagnent lors de leur reportage et prennent de multiples photos pour rendre le journal plus intéressant.

 

De l’idée aux papiers:

 

Les journalistes se réunissent tous le lundi matin pour trouver des idées d’articles et se les répartir. Ils peuvent faire leurs recherches en partant en reportage, en téléphonant aux personnes concernées ou en prenant les informations sur internet en vérifiant toujours qu’elles soient vraies. Ils écrivent leur article sur l’ordinateur puis le rédacteur vérifie les fautes et met tout en forme sur le logiciel qui reproduit le journal sur format numérique. Les articles sont envoyés au plus tard à minuit pour l’impression dans les imprimeries.

 

C’est grâce à toutes ces personnes que vous pouvez lire le journal de la Voix du Nord, même les jours fériés !

 

Elèna B.

 

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18 janvier 2016 1 18 /01 /janvier /2016 11:37

Connaissez-vous bien notre principal ?

Que fait-il quand nous travaillons ?

Nous le lui avons demandé !

 

 

Mais qui est notre principal ?

Depuis combien de temps exercez-vous le métier de principal ?

M. Sablon : J’exerce le métier de principal depuis 10 ans. J’ai commencé ce métier en 2005.

 

Quel chemin avez-vous parcouru pour devenir principal ?

Avant d’être principal j’ai passé un bac littéraire et suivi 3 ans de classe préparatoire puis j’ai été professeur d'allemand.

 

Que faites-vous quand nous sommes en cours c'est-à-dire quelle est la journée habituelle d’un principal ?

Je fais actuellement beaucoup de réunions sur la réforme.

 

L'organisation de votre journée varie-t-elle ?

Oui elle varie tous les jours.

 

Qui programme votre journée ?

C’est principalement ma secretaire car elle tient mon agenda.

 

Travaillez-vous seul ?

Non, je travaille avec tout le personnel du collège.

 

Pourquoi votre activité professionnelle vous plaît-elle ?

Car je suis proche des élève.

 

Y a-t-il des choses qui vous ennuient dans votre métier ?

Non rien ne m’ennuie dans mon métier car il change tous les jours.

 

Quelle relation avez-vous avec les élèves ?

Je suis proche des élèves, je veille au suivi des résultats.

 

Quel est votre meilleur souvenir en tant que principal ?

Les journées portes ouvertes car tout le monde s’est bien impliqué et on a pu montrer les activités pratiquées au collège.

 

Quel est votre pire souvenir en tant que principal ?

L’enterrement d’une élève.



Marion C. et Adélie H.

 

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15 janvier 2016 5 15 /01 /janvier /2016 08:29

Le mardi 8 décembre 2015 a eu lieu la réunion des représentants du FSE (foyer socio- éducatif) de chaque classe.

 

Lors de cette réunion ils ont regardé les chiffres d’affaire de la vente de chocolats et apparemment vous êtes des gourmands: 72 kg de chocolats vendus !

Ils ont également trouvé quelques idées pour améliorer le FSE. Pour le moment, tout reste assez vague mais si vous, vous avez des idées, n’hésitez pas en poster dans la boîte à idées du FSE que vous trouverez sur l’ENT rubrique “le FSE”, elles seront les bienvenues.

 

Le FSE est un local où les élèves peuvent se retrouver et jouer par exemple au baby-foot, au billard, ou jouer à différents jeux de sociétés.

Des sorties et des clubs peuvent être mis en place (cinéma, concours de billard…)

Il y a maintenant de plus en plus d’ateliers et de jeux auxquels vous pourrez participer.

 

N’oubliez pas que si vous le souhaitez vous pouvez venir au FSE. L’inscription coûte simplement 10 euros par élève et vous pourrez y aller toute l’année.

Cet argent, avec les différentes ventes organisées ( brioches, gaufres, chocolats…), servira à acheter de nouveaux jeux et accessoires pour les activités que le FSE propose. Mais il aidera également à acheter de nouveaux livres pour le CDI et à financer les sorties.

 

Donc n’hésitez plus, si vous aimez jouer ou vous amuser, inscrivez vous au FSE, vous serez les bienvenus!

 

Ninon V.

 

 

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11 janvier 2016 1 11 /01 /janvier /2016 14:12

Début octobre 2015 les élèves de 5e sont allés faire une randonnée de 20 km à pied pour aller voir le château Baratte, pour le projet santé.

 

Nous sommes passés par le chemin à côté du collège puis par Mérignies jusqu'à Fretin et pour finir jusqu’au château Baratte à Templeuve.

Nous avons marché dans des champs et dans les chemins pédestres. Dans les champs nous avons vu des lapins et dans les prairies nous avons vu des vaches.

C'était bien car nous étions avec nos amis(es). Il faisait très bon et c’était agréable. Mais tout le monde avait mal aux jambes.

 

Le projet santé c’est quoi?

 

On fait le projet santé :

-pour que les élèves fassent le lien entre l'activité physique et le bien-être

-pour qu’il y ait une compétition entre les classes de 5e sur toute l’année et les deux meilleures classes gagnent un voyage de 2 jours.

 

Il sert à motiver les élèves pour s’investir dans des activité physiques.

 

Il n’y a que les 5e qui peuvent le faire car c’est trop compliqué à organiser :

-Il y a des rencontres sportives plusieurs fois dans l’année. De plus les voyages coûtent cher et le collège paye la plus grande partie de ces voyages.

 

Les projets prévus de cette année sont :

- la randonnée

- les tests physiques

- l'inter-classes

- le parcours du coeur

- la sortie de fin d’année.

 

Jalane M.

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4 décembre 2015 5 04 /12 /décembre /2015 14:46

Le 5 octobre 2015, toutes les classes de sixièmes ont assisté à un spectacle fabuleux (dans l’espace culturel) qui se nomme “les contes du calumet”.

Ce spectacle a été présenté en deux parties par 2 deux conteurs réunionais, Jean-Bernard et Christine.

 

Dans la première partie les conteurs ont interprété chacun à leur façon et accompagnés de leurs instruments (le kayamb, le balafon…) cinq contes:

 

Les contes inuits :                                         Les contes africains:

- Kauthauk l’orphelin                                     - Quand le lion épousa la brebis

- L’âme de la baleine                                     - Le singe et le scorpion

                                                                    - Le bouc

 

Jean-Bernard interprétait les contes africains d’une manière vive, drôle, il faisait participer le public et il jouait le rôle des personnages.

 

2 heures dans un “autre” monde! Les contes du Calumet

Christine, elle, interprétait les contes inuits d’une manière plus posée, calme et littéraire.

 

2 heures dans un “autre” monde! Les contes du Calumet

Jean-Bernard ajoutait à ses contes quelques formules auquel le public devait répondre.

Ex: “criquet” / “craquet!”

Cela était fait pour capter l’attention du public.

 

Dans la deuxième partie, les conteurs nous ont nommé les différents instruments à percussion avec lesquels ils ont joué.

Pour terminer ce spectacle ils ont choisi certains élèves et leur ont demandé de jouer de ces instruments.

Tous réunis cela faisait une jolie cacophonie !

 

2 heures dans un “autre” monde! Les contes du Calumet

Le spectacle était: amusant, vivant, original, et nous a instruit sur les grandes cultures africaines et inuit. Pour la plupart d’entre nous, il nous a beaucoup plus !!!

 

Juliette M., Célia H., Ninon V.

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24 novembre 2015 2 24 /11 /novembre /2015 08:14

Ce vendredi 09 octobre 2015, nous avons été voir le Havre de Aki Kaurismaki au cinéma de Templeuve.

 

 

Mais de quoi parle ce film?

 

Marcel-Marx, ex-écrivain, s’est exilé dans la ville du Havre en Normandie. Ce dernier opte pour une vie bien plus modeste avec sa femme Arletty. Mais tout bascule le jour où un enfant immigré originaire d’Afrique noire fait irruption dans sa vie. Il va devoir faire face à la dure réalité des choses et se battre pour sauver la vie d’un jeune garçon.

 

Qu’en ont pensé les élèves de troisième?

 

Pour la plupart, la façon de jouer des acteurs n’a pas fait l’unanimité. Beaucoup n’ont pas apprécié la fin, ils s’attendaient à quelque chose de différent, de moins joyeux.

 

Du film au cours:

 

Après avoir vu le film, nous en avons parlé en cours de Français en échangeant nos avis par rapport à ce que nous avons vu. La professeur de Français a décidé de voir le film comme un conte, avec les adjuvants et les opposants : les adjuvants sont les personnes qui vont aider le personnage principal, au contraire des opposants qui comme leur nom l’indique sont là pour s’opposer au personnage principal. On retrouve également le fait qu’on ne connaît pas l'époque dans laquelle se situe l’action (éléments du passé et du présent), ce qui peut nous faire rappeler cette fameuse phrase “Il était une fois”. La fin du film se passe également comme dans un conte “Ils vécurent heureux”.

Ce film est très riche en symboles comme les couleurs utilisées (le jaune, le rouge et le bleu), la façon de filmer (le cadrage), les habits des acteurs (la tenue noire du commissaire Monet qui contraste avec les vêtements clairs de Marcel).

 

Alors vous savez ce qu’il vous reste à faire...

 

 

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22 juin 2015 1 22 /06 /juin /2015 09:16

Le vendredi 12 juin 2015 était LA grande journée pour les élèves de 3e participant au challenge HELICA. Ils ont pu présenter leurs prototypes lors du concours et une équipe a fini 2e ! Félicitations à tous les participants !

Le challenge Helica ? Ca roule pour les élèves de 3e !

Le concours HELICA, qu’est ce que c’est ?

Créé en 2006, ce concours permet de rendre hommage à Marcel Leyat, créateur d’une série de voitures à hélice entre 1913 et 1927. Le défi à relever pour les élèves était donc de réaliser un modèle réduit de voiture à hélice radiocommandé, en respectant un cahier des charges précis, tant au niveau du coût que de la technique, tout au long de l’année scolaire, en équipe de 4 à 6 élèves, en cours de technologie. Avec l’aide de M. Vergeyle, leur professeur de technologie, ils ont ainsi pu mettre en pratique toutes les connaissances acquises dans cette matière au collège (réalisation de croquis, modélisation…).

Le thème retenu cette année étant l’art (« l’Hélica vue par un artiste »), le professeur d’arts plastiques a également été mis à contribution pour aider des élèves dans le choix des artistes : Keith Haring et Mondrian ont été mis à l’honneur.

Le challenge Helica ? Ca roule pour les élèves de 3e !

Le jour J

C’est avec un peu de stress que les différentes équipes sont arrivées le jour du concours, notamment par rapport à la présentation orale du  prototype et aux courses à réaliser (slalom, vitesse…). La grande question était : «y aura-t-il des problèmes techniques ou de pilotage ? »

Malgré cette inquiétude, la journée s’est passée dans la bonne humeur et a permis aux élèves de faire des rencontres (400 élèves de 16 établissements participaient cette année) et de concrétiser un projet qui les a mobilisés toute l’année.

Ce qui les a motivés ? Avoir des objectifs à remplir pour le concours, avoir une mise en pratique des cours qui rapproche des exigences du monde de l’entreprise (calendrier à respecter, cahier des charges…) et l’utilisation des différents outils - l’arrivée du Charlie robot en cours d’année leur a d’ailleurs nettement simplifié la tâche, comme l’a souligné Antoine C., élève de 3e.

Rendez-vous l’année prochaine avec de nouvelles équipes pour un nouveau challenge et pourquoi pas, remporter le 1er prix !

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11 juin 2015 4 11 /06 /juin /2015 13:39

Cette année, une élève de 4ème, Margaux C., est partie un mois durant découvrir les us et coutumes d’un pays avec lequel nous nous entendons bien :  l’’Allemagne .

 

- Comment as-tu eu l’idée de partir chez ta correspondante ?

Nous avons eu une très bonne entente dès la 6ème  et le fait d’avoir entendu des gens en parler m’a donné l’idée et l’envie de partir chez ma correspondante.

 

-Qu’as-tu fais ?

J’ai été en cours pendant la moitié de mon séjour. Nous avons fait des sorties avec ses amis comme par exemple du shopping, des parcs d’attractions, piscine, accrobranche…

 

-Qu’as-tu appris ?

J’ai appris du vocabulaire et ma correspondante m’a aidée à avoir un meilleur accent. J’ai appris une nouvelle recette qui est : Apfelschorle , c’est une boisson avec du jus de pomme et de l’eau pétillante.  J’ai également remarqué que les générations en Allemagne sont plus distantes et autonomes.

 

-Quelles sont les différences avec la France ?

J’ai remarqué qu’ils ne mangent quasiment pas d’aliments sucrés mais ils mangent beaucoup de sandwiche. Ils sautent également le repas du midi, compensé par de petits en-cas.

Leur journée de cours est composée de six heures de cours le matin, qui durent chacun 45 minutes.

 

-Que préfères-tu ?

J’ai beaucoup aimé rencontrer de nouvelles personnes, je me suis beaucoup amusée et c’était une belle expérience.

 

-Voudrais-tu le refaire ?

Oui ! Encore plus longtemps !

 

-As-tu amélioré ton niveau d’allemand ?

Oui. J’ai appris de nouveaux mots et j’ai également  renforcé mon accent.

 

-Tes souvenirs…

Le parc d’attractions est l’un de mes meilleurs souvenir car j’ai fais un plongeon de 7,50 mètres. Je garderai aussi un bon souvenir du fromage frais avec du nutella.

 

-Qu’est ce qui t’as manqué ?

Ce qui m’a manqué le plus a été la langue française.

 

-Qu’est ce qui te manque depuis que tu es revenue ?

Ce qui me manque le plus depuis que je suis revenue, c’est ma correspondante.

 

 

Elena B., Margot L.

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 13:36

Le club Terracycle, orchestré par Mme Duchateau, a décidé fin mai 2015 des dons qu’il ferait grâce à l’argent versé  par la récolte d’instruments d’écriture.

 

Grâce aux membres du club mais aussi grâce à tous les élèves qui, au lieu de jeter leurs stylos, les ont déposés dans les boîtes Terracycle disponibles dans les classes, Elevages sans frontières plantera 10 arbres fruitiers à Haïti, les enfants d’un centre de refuge au Sénégal recevront des kits d’hygiène bucco-dentaire, corporelle et de vaccination et une journée de formation sera offerte à une jeune fille en Inde.

SOS Préma recevra la laine nécessaire à la confection d’un bonnet et d’une paire de chaussons et le tissu pour un doudou destinés à un bébé prématuré.

 

Nous tenons à féliciter le club pour la récolte plus importante chaque année et aussi les élèves qui sont de plus en plus sensibles à la cause. Nous espérons que l’année prochaine sera encore plus fructueuse !

 

Léa G.

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 12:16

Depuis l’attentat de Charlie Hebdo, suivi d’ailleurs par celui d’Amsterdam et d’autres encore, le climat politique dans notre pays s’est beaucoup durci : vivre ensemble semble être devenu compliqué. Les gens font de plus en plus d’amalgames entre musulman et terroriste, voire arabe et terroriste, il y a une montée de racisme en France. Ces idées et propos nous alarment tous tant ils sont maladroits, c’est une atteinte aux principes de vivre ensemble. Certes, certains musulmans se convertissent au djihadisme, mais ils ne sont qu’une minorité!

Un professeur d’histoire du collège a accepté de répondre suite à l’attentat de Charlie Hebdo:

 

Le P’tit Collégien: Quel a été votre ressenti au vu des évènements de Charlie Hebdo?

Professeur: J’ai été très triste quand j’ai appris ce terrible évènement. J’ai eu très peur pour le pays car je crains que la France se divise et que les Français oublient leurs points communs.

 

Le P’tit Collégien: De quelle façon avez-vous interprété les différentes réactions suite aux attentats?

Professeur: Il y a deux façons d'interpréter ces évènements: certes, je pense que les terroristes ont réussi à faire parler d’eux et à nous inciter à la haine, mais ils n’ont pas réussi à nous diviser car les manifestations nous ont rassemblé alors que certaines personnes n’auraient jamais pensé avoir des points communs.

 

Le P’tit Collégien: Comment avez-vous suivi les attentats?

Professeur: J’ai varié les sources d’informations. J’ai regardé la télévision, j’ai navigué sur Internet, notamment sur lemonde.fr. J’ai aussi regardé la presse et les sites étrangers. Malgré tout, même si les informations me semblent vraies, je vérifie toujours les sources.

 

Malheureusement, nous sommes aussi touchés au niveau du collège par ces discriminations: au niveau de la couleur de notre peau, des difficultés de langage, d’un look vestimentaire, de la coiffure, des notes scolaires (bonne ou mauvaise) ou même d’un handicap...

Mais ce ne sont pas les seuls exemples. Il est facile de remarquer le détail qui différencie un élève d’un autre et de se moquer de lui, mais quand ça nous arrive on a du mal à encaisser et ça peut faire très mal.

Mais, si tout le monde était identique la vie serait triste et ennuyeuse ; c’est une richesse d’être différent des autres et il ne faut pas vouloir masquer ses différences.

Comme le dit la chanson de ZAZ “Quelle est belle notre chance aux mille couleurs de l’être humain, mélangées de nos différences à la croisée des destins”.

Chaque culture a sa richesse, chaque différence peut être un atout. On a beaucoup à apprendre les uns des autres, alors soyons tolérants.

 

Margot L., Elèna B., Floriane H., Soléane P. et Léa G.

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